Favourite Song lyrics

“Wartime Prayers” - Paul Simon

Prayers offered in times of peace are silent conversations,
Appeals for love or loves release, in private invocations.

But all that is changed now,
Gone like a memory from the day before the fires.
People hungry for the voice of God
Hear lunatics and liars

Wartime prayers, wartime prayers
In every language spoken,
For every family scattered and broken.

Because you cannot walk with the holy,
If you’re just a halfway decent man.
But I don’t pretend that I’m a mastermind
With a genious marketing plan.

I’m trying to tap into some wisdom,
Even a little drop would do.
I want to rid my heart of envy
And cleanse my soul of rage
Before I feel.

Times are hard, hard times,
But everybody knows all about hard times.
The thing is, what are you gonna do?
Will you cry?
And try to muscle through?
And try to rearrange your stuff?
But when the wounds are deep enough,
And it’s all that we can bear,
We wrap ourselves in prayer.

Because you cannot walk with the holy,
If you’re just a halfway decent man.
But I don’t pretend that I’m a mastermind
With a genious marketing plan.

I’m trying to tap into some wisdom,
Even a little drop would do.
I want to rid my heart of envy
And cleanse my soul of rage
Before I’m through.

A mother murmurs in twilight sleep
And draws her babies closer.
With hush-a-bies for sleepy eyes,
And kisses on the shoulder.
To drive away despair
She sends a wartime prayer.

“Pocahontas” - Neil Young

Aurora borealis
The icy sky at night
Paddles cut the water
In a long and hurried flight
From the white man
to the fields of green
And the homeland
we’ve never seen.

They killed us in our tepee
And they cut our women down
They might have left some babies
Cryin’ on the ground
But the firesticks
and the wagons come
And the night falls
on the setting sun.

They massacred the buffalo
Kitty corner from the bank
The taxis run across my feet
And my eyes have turned to blanks
In my little box
at the top of the stairs
With my Indian rug
and a pipe to share.

I wish a was a trapper
I would give thousand pelts
To sleep with Pocahontas
And find out how she felt
In the mornin’
on the fields of green
In the homeland
we’ve never seen.

And maybe Marlon Brando
Will be there by the fire
We’ll sit and talk of Hollywood
And the good things there for hire
And the Astrodome
and the first tepee
Marlon Brando, Pocahontas and me
Marlon Brando, Pocahontas and me
Pocahontas

“mon vieux” - Daniel Guichard

Dans son vieux pardessus râpé
Il s´en allait l´hiver, l´été
Dans le petit matin frileux
Mon vieux.

Y avait qu´un dimanche par semaine
Les autres jours, c´était la graine
Qu´il allait gagner comme on peut
Mon vieux.

L´été, on allait voir la mer
Tu vois c´était pas la misère
C´était pas non plus l´paradis
Hé oui tant pis.

Dans son vieux pardessus râpé
Il a pris pendant des années
L´même autobus de banlieue
Mon vieux.

L´soir en rentrant du boulot
Il s´asseyait sans dire un mot
Il était du genre silencieux
Mon vieux.

Les dimanches étaient monotones
On n´recevait jamais personne
Ça n´le rendait pas malheureux
Je crois, mon vieux.

Dans son vieux pardessus râpé
Les jours de paye quand il rentrait
On l´entendait gueuler un peu
Mon vieux.

Nous, on connaissait la chanson
Tout y passait, bourgeois, patrons,
La gauche, la droite, même le bon Dieu
Avec mon vieux.

Chez nous y avait pas la télé
C´est dehors que j´allais chercher
Pendant quelques heures l´évasion
Tu sais, c´est con!

Dire que j´ai passé des années
A côté de lui sans le r´garder
On a à peine ouvert les yeux
Nous deux.

J´aurais pu c´était pas malin
Faire avec lui un bout d´chemin
Ça l´aurait p´t´-êt´ rendu heureux
Mon vieux.

Mais quand on a juste quinze ans
On n´a pas le cœur assez grand
Pour y loger tout´s ces chos´s-là
Tu vois.

Maintenant qu´il est loin d´ici
En pensant à tout ça, j´me dis
"J´aim´rais bien qu´il soit près de moi"
PAPA…

:sunglasses:

“amsterdam” - Jacques Brel

Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d´Amsterdam
Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes

Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant

Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D´un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s´entendre rire
Jusqu´à ce que tout à coup
L´accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu´en pleine lumière

Dans le port d´Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d´Amsterdam
De Hambourg ou d´ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d´Amsterdam
Dans le port d´Amsterdam.

:sunglasses:

“ces gens là” - Jacques Brel

D’abord, d’abord, y a l’aîné
Lui qui est comme un melon
Lui qui a un gros nez
Lui qui sait plus son nom
Monsieur tellement qu´y boit
Tellement qu´il a bu
Qui fait rien de ses dix doigts
Mais lui qui n´en peut plus
Lui qui est complètement cuit
Et qui s´prend pour le roi
Qui se saoule toutes les nuits
Avec du mauvais vin
Mais qu´on retrouve matin
Dans l´église qui roupille
Raide comme une saillie
Blanc comme un cierge de Pâques
Et puis qui balbutie
Et qui a l´œil qui divague
Faut vous dire, Monsieur
Que chez ces gens-là
On ne pense pas, Monsieur
On ne pense pas, on prie

Et puis, y a l´autre
Des carottes dans les cheveux
Qu´a jamais vu un peigne
Qu´est méchant comme une teigne
Même qu´il donnerait sa chemise
A des pauvres gens heureux
Qui a marié la Denise
Une fille de la ville
Enfin d´une autre ville
Et que c´est pas fini
Qui fait ses p´tites affaires
Avec son p´tit chapeau
Avec son p´tit manteau
Avec sa p´tite auto
Qu´aimerait bien avoir l´air
Mais qui a pas l´air du tout
Faut pas jouer les riches
Quand on n´a pas le sou
Faut vous dire, Monsieur
Que chez ces gens-là
On n´vit pas, Monsieur
On n´vit pas, on triche

Et puis, il y a les autres
La mère qui ne dit rien
Ou bien n´importe quoi
Et du soir au matin
Sous sa belle gueule d´apôtre
Et dans son cadre en bois
Y a la moustache du père
Qui est mort d´une glissade
Et qui r´garde son troupeau
Bouffer la soupe froide
Et ça fait des grands flchss
Et ça fait des grands flchss
Et puis y a la toute vieille
Qu´en finit pas d´vibrer
Et qu´on attend qu´elle crève
Vu qu´c´est elle qu´a l´oseille
Et qu´on n´écoute même pas
C´que ses pauvres mains racontent
Faut vous dire, Monsieur
Que chez ces gens-là
On n´cause pas, Monsieur
On n´cause pas, on compte

Et puis et puis
Et puis il y a Frida
Qui est belle comme un soleil
Et qui m´aime pareil
Que moi j´aime Frida
Même qu´on se dit souvent
Qu´on aura une maison
Avec des tas de fenêtres
Avec presque pas de murs
Et qu´on vivra dedans
Et qu´il fera bon y être
Et que si c´est pas sûr
C´est quand même peut-être
Parce que les autres veulent pas
Parce que les autres veulent pas
Les autres ils disent comme ça
Qu´elle est trop belle pour moi
Que je suis tout juste bon
A égorger les chats
J´ai jamais tué de chats
Ou alors y a longtemps
Ou bien j´ai oublié
Ou ils sentaient pas bon
Enfin ils ne veulent pas
Parfois quand on se voit
Semblant que c´est pas exprès
Avec ses yeux mouillants
Elle dit qu´elle partira
Elle dit qu´elle me suivra
Alors pour un instant
Pour un instant seulement
Alors moi je la crois, Monsieur
Pour un instant
Pour un instant seulement
Parce que chez ces gens-là
Monsieur, on ne s´en va pas
On ne s´en va pas, Monsieur
On ne s´en va pas
Mais il est tard, Monsieur
Il faut que je rentre chez moi.

:sunglasses:

“hotel california” - The Eagles

On a dark desert highway, cool wind in my hair
Warm smell of colitas rising up through the air
Up ahead in the distance, I saw a shimmering light
My head grew heavy, and my sight grew dimmer
I had to stop for the night
There she stood in the doorway;
I heard the mission bell
And I was thinking to myself,
´This could be Heaven or this could be Hell´
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor, I thought I heard them say…

Welcome to the Hotel California
Such a lovely place, such a lovely place
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year, you can find it here

Her mind is Tiffany-twisted, She got the Mercedes Benz
She´s got a lot of pretty, pretty boys, that she calls friends
How they dance in the courtyard, sweet summer sweat.
Some dance to remember, some dance to forget
So I called up the Captain, ´Please bring me my wine´
He said, ´We haven´t had that spirit here since 1969´
And still those voices are calling from far away
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say…

Welcome to the Hotel California
Such a lovely place, such a lovely face
They livin´ it up at the Hotel California
What a nice surprise, bring your alibis

Mirrors on the ceiling, the pink champagne on ice
And she said ´We are all just prisoners here, of our own device´
And in the master´s chambers, they gathered for the feast
They stab it with their steely knives, but they just can´t kill the beast
Last thing I remember, I was running for the door
I had to find the passage back to the place I was before
´Relax´ said the nightman, We are programed to receive.
You can check out any time you like, but you can never leave

always loved those lyrics!!!

:sunglasses:

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Celine Dion - Destin

Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
Y’a pas d’opale autour de mes doigts
Ni cathédrale où cacher mes prières
Juste un peu d’or autour de ma voix

Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?

Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur

Des feux d’été je vole aux sombres hivers
Des pluies d’automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mien

Je vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemains

Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur

Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?

Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphone

Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur

Shine

by Joni Mitchell

Oh let your little light shine
Let your little light shine
Shine on Wall Street and Vegas
Place your bets
Shine on the fishermen
With nothing in their nets
Shine on rising oceans and evaporating seas
Shine on our Frankenstein technologies
Shine on science
With its tunnel vision
Shine on fertile farmland
Buried under subdivisions

Let your little light shine
Let your little light shine
Shine on the dazzling darkness
That restores us in deep sleep
Shine on what we throw away
And what we keep

Shine on Reverend Pearson
Who threw away
The vain old God
kept Dickens and Rembrandt and Beethoven
And fresh plowed sod
Shine on good earth, good air, good water
And a safe place
For kids to play
Shine on bombs exploding
Half a mile away

Let your little light shine
Let your little light shine
Shine on world-wide traffic jams
Honking day and night
Shine on another asshole
Passing on the right!
Shine on the red light runners
Busy talking on their cell phones
Shine on the Catholic Church
And the prisons that it owns
Shine on all the Churches
They all love less and less
Shine on a hopeful girl
In a dreamy dress

Let your little light shine
Let your little light shine
Shine on good humor
Shine on good will
Shine on lousy leadership
Licensed to kill
Shine on dying soldiers
In patriotic pain
Shine on mass destruction
In some God’s name!
Shine on the pioneers
Those seekers of mental health
Craving simplicity
They traveled inward
Past themselves…
May all their little lights shine

Did Ya - The Kinks

Went for a walk down the old King’s Road,
To see if anybody was there.
But there was nobody home at 3 Bywater Street,
And they had sold Cadogan Square.
And I remember myself in my tie dye sweater,
And my hipster corduroy flares.
As I knocked on doors,
And walked down one-way streets that led nowhere.
Ah, did ya ever think it wouldn’t last forever?
Did ya ever think that it would get this bad?
Did ya ever think that everything would get so crazy?
Now the Chelsea drug store needs a fix,
It’s in a state of ill repair.
And my cuban heels are hurting my feet,
Just to add to my despair.
La-di-dahs drove mini cars in the summertime.
(in the summertime)
Now they’re towed away for parking on a double yellow line,
And they can’t pay the fine.

Did you ever think we’d all believe the hype?
Did you ever think the classes all would revert back to type?
Did you ever think the system ever really got it right?
Oh, baby.

They filled us full of false illusions and promiscuity,
And they led us down that class-less road to mediocrity.
As we walked down that alley way of hope,
We thought we’d found the motherload,
But we were led like lambs to that promised land,
With all the debts that we would owe.
Once trendies posed for tourist pictures in the summertime.
(in the summertime)
Not content with taking polaroids, they purchased all the property that they could find,
And I’ve just sold mine. (did you ever!)

Did ya ever think that this green and plesant land,
Would end up in the bottom of some garbage can,
A dustbin full of promises and half-hearted plans.
Oh, baby.

Now miseries and groaners moan and reminisce about the good old times and whine, whine, whine.

Did ya ever think when things were really fab,
That we’d be looking through a dustbin for a dog-end to drag,
And sleeping on park benches wrapped in plastic bags.
Oh, baby.
Did ya ever think that it would get this crazy?
Did ya ever think that it would get this way?
Did ya ever think that we would pay the price for being lazy?

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“my way” - Frank Sinatra

And now, the end is near,
And so I face the final curtain.
My friend, I’ll say it clear,
I’ll state my case, of which I’m certain.

I’ve lived a life that’s full.
I’ve traveled each and every highway,
And more, much more than this,
I did it My Way.

Regrets, I’ve had a few;
But then again, too few to mention.
I did what I had to do
And saw it through without exemption.

I planned each charted course;
Each careful step along the byway,
But more, much more than this,
I did it My Way.

Yes, there were times, I’m sure you knew
When I bit off more than I could chew.
But through it all, when there was doubt,
I ate it up and spit it out.
I faced it all and I stood tall;
And did it My Way.

I’ve loved, I’ve laughed and cried.
I’ve had my fill, my share of losing.
And now, as tears subside,
I find it all so amusing.

To think, I did all that.
And may I say, not in a shy way,
No, oh no not me,
I did it My Way.

For what is a man, what has he got?
If not himself, then he has naught.
To say the things he truly feels;
And not the words of one who kneels.
The record shows I took the blows -
And did it My Way!

:sunglasses:

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“lettre à France” by Michel Polnareff

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C’est ça être là-bas.

La différence
C’est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu vis toujours au bord de l’eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos.
Et moi loin de toi
Je vis dans une boite à musique
Electrique et fantastique
Je vis en “chimérique”.

La différence,
C’est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu n’es pas toujours la plus belle
Et je te reste infidèle
Mais qui peut dire l’avenir
De nos souvenirs
Oui, j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
L’amour c’est fait de ça.

Il était une fois
Toi et moi
N’oublie jamais ça
Toi et moi !

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi là-bas.
Oui j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
Je pense à toi tout bas…

:sunglasses:

“le bal des lazes” by Michel Polnareff

Je serai pendu demain matin
Ma vie n’était pas faite
Pour les châteaux.
Tout est arrivé ce soir de juin
On donnait une fête
Dans le château .

Dans le château de Laze
Le plus grand bal de Londres
Lord et Lady de Laze
Recevaient le grand monde
Diamants, rubis, topazes
Et blanches robes longues
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.

Je serai pendu demain au jour
Dommage pour la fille
De ce château.
Car je crois qu’elle aimait bien l’amour
Que l’on faisait tranquille
Loin du château.

Dans le château de Laze
Pour les vingt ans de Jane
Lord et Lady de Laze
Avaient reçu la Reine
Moi le fou que l’on toise
Moi je crevais de haine
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.

Je serai pendu demain matin
Ça fera quatre lignes
Dans les journaux.
Je ne suis qu’un vulgaire assassin
Un vagabond indigne
De ce château.

Dans le château de Laze
Peut-être bien que Jane
A l’heure où l’on m’écrase
Aura un peu de peine
Mais ma dernière phrase
Sera pour qu’on me plaigne
Puisqu’on va lui donner
Un autre fiancé
Et que je n’ pourrai pas
Supprimer celui-là

:sunglasses:

Wish I could understand the French ones Anthony! - I’ll have to use Google Translate!

“marguerite” by Richard Cocciante

Surtout, ne m’en voulez pas trop
Si ce soir je rentre chez moi
J’ai tellement de choses à faire
Avant que le jour se lève

Et pendant qu’elle dormira
Moi, je lui construirai des rêves
Pour que plus jamais, au réveil
Elle ne se lève les yeux en pleurs

Et pour que cette longue nuit
Ne soit plus jamais noire et profonde
Je demanderai à la lune
De remplir le ciel tout entier

Et pour que je puisse encore la voir
Me sourire comme avant
Je demanderai au soleil
De brûler, même en plein hiver

Et pour qu’elle puisse encore chanter
Les chansons de notre bohème
Je construirai un silence
Plus grand que ceux des cathédrales

J’irai réveiller les amants
Je parlerai des heures entières
Et je sais qu’ils me suivront
Tant que nous resterons amants

Alors on se promènera
Tous ensemble on dansera
D’incroyables sarabandes
Et elle oubliera sa peine

Et pour que la ville danse
Et pour que la ville chante
On inventera des couleurs
Et elle oubliera ses larmes

Nous irons dans les campagnes
Pour cueillir les fleurs des champs
Pour en faire un grand lit blanc
Où l’on s’aime tendrement

Et puis nous irons au fond du ciel
Pour lui choisir une étoile
Parc’que Marguerite est bonne
Parc’que Marguerite est belle
Parc’que Marguerite est vraie
Parc’que Marguerite est douce
Parc’que Marguerite m’aime
Moi, je ne vis que pour elle

Marguerite est ma raison
Mon lendemain, mon idéal
Marguerite qui est le vent
Ne sait pas qu’elle peut me faire mal

Parc’que Marguerite est celle
Que je veux toujours près de moi
Marguerite est Marguerite
Marguerite est tout pour moi

Marguerite est tout pour moi

:sunglasses:

“l’aigle noir” by Barbara

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d’un lac je m’étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,

Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d’ailes,
Comme tombé du ciel,
L’oiseau vint se poser,

Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L’oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,

De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C’est alors que je l’ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m’était revenu,

Dis l’oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d’autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d’enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,

Comme avant, dans mes rêves d’enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,

L’aigle noir dans un bruissement d’ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,

Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J’avais froid, il ne me restait rien
L’oiseau m’avait laissée
Seule avec mon chagrin

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d’un lac, je m’étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,

Un beau jour, une nuit,
Près d’un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l’aigle noir…

one of the most beautiful french song ever written!

:sunglasses:

sorry to post french lyrics but some are so beautiful that I had to :wink:
try google translate for “l’aigle noir” by Barbara!

:sunglasses:

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“Into The Fire” - Bruce Springsteen

The sky was falling and streaked with blood
I heard you calling me then you disappeared into the dust
Up the stairs, into the fire
Up the stairs, into the fire
I need your kiss, but love and duty called you someplace higher
Somewhere up the stairs into the fire

May your strength give us strength
May your faith give us faith
May your hope give us hope
May your love give us love

You gave your love to see in fields of red and autumn brown
You gave your love to me and lay your young body down
Up the stairs, into the fire
Up the stairs, into the fire
I need you near but love and duty called you someplace higher
Somewhere up the stairs into the fire

May your strength give us strength
May your faith give us faith
May your hope give us hope
May your love give us love

It was dark, too dark to see, you held me in the light you gave
You lay your hand on me
Then walked into the darkness of your smoky grave
Somewhere up the stairs into the fire
Somewhere up the stairs into the fire
I need your kiss, but love and duty called you someplace higher
Somewhere up the stairs into the fire

May your strength give us strength
May your faith give us faith
May your hope give us hope
May your love give us love

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“american skin (41 shots)” by Bruce Springsteen

41 shots, and we’ll take that ride
’Cross this bloody river to the other side
41 shots, cut through the night
You’re kneeling over his body in the vestibule
Praying for his life

Well, is it a gun, is it a knife
Is it a wallet, this is your life
It ain’t no secret (it ain’t no secret)
No secret my friend
You can get killed just for living in your American skin

(41 shots)
(41 shots)
(41 shots)
(41 shots)

41 shots, Lena gets her son ready for school
She says, “On these streets, Charles
You’ve got to understand the rules
If an officer stops you, promise me you’ll always be polite
And that you’ll never ever run away
Promise Mama you’ll keep your hands in sight”

Well, is it a gun, is it a knife
Is it a wallet, this is your life
It ain’t no secret (it ain’t no secret)
No secret my friend
You can get killed just for living in your American skin

(41 shots)
(41 shots)
(41 shots)
(41 shots)

Is it a gun, is it a knife
Is it in your heart, is it in your eyes
It ain’t no secret (it ain’t no secret)
It ain’t no secret (it ain’t no secret)

41 shots, and we’ll take that ride
’Cross this bloody river to the other side
41 shots, I got my boots caked in this mud
Baptized in these waters (we’re baptized in these waters)
And in each other’s blood (and in each other’s blood)

Well, is it a gun, is it a knife
Is it a wallet, this is your life
It ain’t no secret (it ain’t no secret)
It ain’t no secret (it ain’t no secret)
No secret my friend
You can get killed just for living in
You can get killed just for living in your American skin

sadly,with what happened to this young black man,this song still has a particular resonance and is still relevant

:sunglasses:

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“tears in heaven” - Eric Clapton

Would you know my name
if I saw you in heaven?
Would it be the same
If I saw you in heaven?

I must be strong
and carry on.
'Cause I know I don’t belong
here in heaven.

Would you hold my hand
If I saw you in heaven?
Would you help me stand
If I saw you in heaven?

I’ll find my way
through night and day.
'Cause I know I just can’t stay
here in heaven.

Time can bring you down
Time can bend your knees.
Time can break your heart
Have you begging please.
Begging please…

Beyond the door
there’s peace, I’m sure.
And I know there’ll be no more
tears in heaven.

Would you know my name
if I saw you in heaven?
Would it be the same
If I saw you in heaven?

I must be strong
and carry on.
'Cause I know I don’t belong
here in heaven
’Cause I know I don’t belong
here in heaven

:sunglasses:

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“sunday bloody sunday” - U2

I can’t believe the news today
Oh, I can’t close my eyes
And make it go away
How long?
How long must we sing this song?
How long? How long?
'Cause tonight, we can be as one
Tonight
Broken bottles under children’s feet
Bodies strewn across the dead end street
But I won’t heed the battle call
It puts my back up
Puts my back up against the wall

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

And the battle’s just begun
There’s many lost, but tell me who has won
The trench is dug within our hearts
And mothers, children, brothers, sisters
Torn apart

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

How long?
How long must we sing this song?
How long? How long?
'Cause tonight, we can be as one
Tonight, tonight

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

Wipe the tears from your eyes
Wipe your tears away
Oh, wipe your tears away
Oh, wipe your tears away
…Sunday, Bloody Sunday…
Oh, wipe your blood shot eyes
…Sunday, Bloody Sunday…
Sunday, Bloody Sunday…Sunday, Bloody Sunday…
Sunday, Bloody Sunday…Sunday, Bloody Sunday…

And it’s true we are immune
When fact is fiction and TV reality
And today the millions cry
We eat and drink while tomorrow they die

…Sunday, Bloody Sunday…

The real battle just begun
To claim the victory Jesus won
On…

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday…

:sunglasses: